Attention: Nouvelle Phototèque à disposition. TELECHARGEZ VOS SOUVENIRS avant JUIN (suppression d'une partie des photos aprés). Nico

Paco est l’aîné de la bande : venu au rugby sur le tard, malheureusement, son physique de déménageur le poussa naturellement en première ligne et pourtant, il vivait depuis un certain temps dans le giron de la famille Oper en épousant Sophie, joueuse et éducatrice pendant de longues saisons. Dès lors notre Obélix se donna à 300 % lorsque ses déplacements de chauffeur lui laissaient le loisir de pratiquer : il suivait Dylan, son fiston, le samedi en épaulant Benoît et mettait sa cotte bleu et rouge le dimanche pour le plus grand bonheur de l’équipe 2 voire un qui glanait avec ses légendaires anciens de précieuses victoires et quelques titres ; costaud et puissant, il prenait le dessus sur son vis-à-vis avec patience et malice mais son engagement le mettait à l’épreuve du mal : les plaies et bosses, les points de suture et les entorses ne se comptent plus mais le vieux briscard, têtu, ne désarmait pas et remontait au front. La dernière croisade fut celle de trop, son genou se tordit mais Paco ne bronche pas, il souffre en silence, continue de bosser…dur au mal mais toujours disponible pour le bien de la communauté de l’ovale.

Rico est de la même légion, de la même génération – un an de moins que son ami-, un Astérix toujours prêt à rempiler, à lutter, à s’engager. Venu plutôt que son compère Paco au rugby, sa petite taille, le cala derrière la mêlée ; vif, insaisissable et tonique, il n’hésite pas malgré son poids léger à défier les cohortes des gros puis son explosivité et sa fougue l’exposa au talon et de finir en troisième ligne infatigable et inusable : toujours à la pointe que ce soit en attaque comme en défense, un poumon d’acier, un poison pour ses adversaires mais un poisson-pilote pour ses partenaires ; une vraie pile sans arrêt en surtension qui recharge son énergie auprès des siens et de ses amis car notre rislois n’a pas trop le temps de s’entraîner et à son presque grand âge, il brave les plus costauds. Toujours sur la route en semaine comme tous nos routiers Eric, Benoît et bien sûr Paco, il n’hésitera pas à monter dans le car le dimanche pour, car pour lui, le rugby est aussi une famille. Le samedi ou lors de manifestations du club, il dispense ses conseils, son expérience et surtout sa gentillesse, les enfants l’adorent et pour les plus grands, c’est un exemple à suivre, discret et passionné.

Roro s’est blanchi sous les travaux guerriers mais est le plus jeune des trois amis… ralliez vous à son panache blanc. Il commença le rugby à l’école de rugby dans la lignée de ses frangins, tous adeptes de l’olive et connut tous les bonheurs avec les générations glorieuses et successives des Manu, Loïc, Boris, Dub, Paf, Nico…; il fut l’un des chefs d’orchestre de la ligne de trois quart à l’arrière comme à l’ouverture qu’il dirigeait avec maestria : son excellente vision du jeu, son coup de pied long et précis, ses chevauchées de gazelle caractéristiques et ses percées plein champ dont il avait le secret, se concrétisaient au tableau d’affichage…et son sourire lumineux en disait long des plaisirs qu’il partageait avec ses frères d’armes. Fragile, notre Passurancetourix, malheureusement, connut beaucoup de pépins physiques, les blessures, les déchirures, les entorses et… son talent d’Achille eurent raison de ses envies et sa volonté, le prof de maths ne résolvait pas tous les problèmes et sagement, il prit la meilleure des solutions : supporter et aider.

Ne croyez surtout pas que l’emploi du passé témoigne de leur cessation d’activité, nos trois rislois sont bien toujours là, à la demande, à l’envie et à discrétion - on ne peut pas être et avoir été- et c’est bien grâce à ces anciens, à ceux d’hier (depuis le début…du club ) que le RCPA résiste, sacré village rislois, et est toujours en vie, toujours présent : vous savez ce qu’il vous reste à faire pour leur rendre hommage : continuer sur leurs traces...et c’est dans cet esprit tranquille que nos gaulois apprécieront ces retrouvailles et votre amitié.

 

Paco est l’aîné de la bande : venu au rugby sur le tard, malheureusement, son physique de déménageur le poussa naturellement en première ligne et pourtant, il vivait depuis un certain temps dans le giron de la famille Oper en épousant Sophie, joueuse et éducatrice pendant de longues saisons. Dès lors notre Obélix se donna à 300 % lorsque ses déplacements de chauffeur lui laissaient le loisir de pratiquer : il suivait Dylan, son fiston, le samedi en épaulant Benoît et mettait sa cotte bleu et rouge le dimanche pour le plus grand bonheur de l’équipe 2 voire un qui glanait avec ses légendaires anciens de précieuses victoires et quelques titres ; costaud et puissant, il prenait le dessus sur son vis-à-vis avec patience et malice mais son engagement le mettait à l’épreuve du mal : les plaies et bosses, les points de suture et les entorses ne se comptent plus mais le vieux briscard, têtu, ne désarmait pas et remontait au front. La dernière croisade fut celle de trop, son genou se tordit mais Paco ne bronche pas, il souffre en silence, continue de bosser…dur au mal mais toujours disponible pour le bien de la communauté de l’ovale.

Rico est de la même légion, de la même génération – un an de moins que son ami-, un Astérix toujours prêt à rempiler, à lutter, à s’engager. Venu plutôt que son compère Paco au rugby, sa petite taille, le cala derrière la mêlée ; vif, insaisissable et tonique, il n’hésite pas malgré son poids léger à défier les cohortes des gros puis son explosivité et sa fougue l’exposa au talon et de finir en troisième ligne infatigable et inusable : toujours à la pointe que ce soit en attaque comme en défense, un poumon d’acier, un poison pour ses adversaires mais un poisson-pilote pour ses partenaires ; une vraie pile sans arrêt en surtension qui recharge son énergie auprès des siens et de ses amis car notre rislois n’a pas trop le temps de s’entraîner et à son presque grand âge, il brave les plus costauds. Toujours sur la route en semaine comme tous nos routiers Eric, Benoît et bien sûr Paco, il n’hésitera pas à monter dans le car le dimanche pour, car pour lui, le rugby est aussi une famille. Le samedi ou lors de manifestations du club, il dispense ses conseils, son expérience et surtout sa gentillesse, les enfants l’adorent et pour les plus grands, c’est un exemple à suivre, discret et passionné.

Roro s’est blanchi sous les travaux guerriers mais est le plus jeune des trois amis… ralliez vous à son panache blanc. Il commença le rugby à l’école de rugby dans la lignée de ses frangins, tous adeptes de l’olive et connut tous les bonheurs avec les générations glorieuses et successives des Manu, Loïc, Boris, Dub, Paf, Nico…; il fut l’un des chefs d’orchestre de la ligne de trois quart à l’arrière comme à l’ouverture qu’il dirigeait avec maestria : son excellente vision du jeu, son coup de pied long et précis, ses chevauchées de gazelle caractéristiques et ses percées plein champ dont il avait le secret, se concrétisaient au tableau d’affichage…et son sourire lumineux en disait long des plaisirs qu’il partageait avec ses frères d’armes. Fragile, notre Passurancetourix, malheureusement, connut beaucoup de pépins physiques, les blessures, les déchirures, les entorses et… son talent d’Achille eurent raison de ses envies et sa volonté, le prof de maths ne résolvait pas tous les problèmes et sagement, il prit la meilleure des solutions : supporter et aider.

Ne croyez surtout pas que l’emploi du passé témoigne de leur cessation d’activité, nos trois rislois sont bien toujours là, à la demande, à l’envie et à discrétion - on ne peut pas être et avoir été- et c’est bien grâce à ces anciens, à ceux d’hier (depuis le début…du club ) que le RCPA résiste, sacré village rislois, et est toujours en vie, toujours présent : vous savez ce qu’il vous reste à faire pour leur rendre hommage : continuer sur leurs traces...et c’est dans cet esprit tranquille que nos gaulois apprécieront ces retrouvailles et votre amitié.