Attention: Nouvelle Phototèque à disposition. TELECHARGEZ VOS SOUVENIRS avant JUIN (suppression d'une partie des photos aprés). Nico

Les Gaelics Moins7 7 L’envie de jouer au rugby amena ces deux-là à se rencontrer et leur prénom commun les rapprocha immédiatement. Avant que de se découvrir d’autres similitudes comme une attirance fort limitée pour l’altitude au cours d’une sortie accrobranche mémorable.

 Confessons toutefois que les deux n’avaient de bretons que le prénom, normands cent pour cent, nos deux compères sitôt inscrits ne s’en acoquinèrent par moins avec un troisième larron armoricain de souche celui là… GWENDAL.

 Les cheveux d’un noir de geai, les yeux sombres, musclé comme un clafoutis aux cerises, ce dernier possède la faculté rare de faire montre d’un courage inversement proportionnel à sa taille. Pour preuve la belle entaille ornant sa pommette dans le bus qui emmenait l’équipe  à Vernon, n’y voyez pas les séquelles de l’âpre combat livré dans la mêlée mais simplement le fruit d’une échauffourée avec RONAN son complice et qui s’était réglée dans le bus à coups de boucle de ceinture. Et dix minutes et trois pansements plus tard, les deux mêmes, aux coudes à coudes, disputaient avec un bel entrain la gonfle à leurs adversaires du jour.

 

Car à ses moments perdus, notre breton véritable, combattant dans l’âme sous ses dehors rieurs, délaisse les terrains de rugby pour arpenter les tatamis cherchant à grand coup de mawaschi à glaner d’autres victoires.

 

Copains d’aujourd’hui qui sait peut-être deviendront-ils tous trois amis pour la vie comme cela est si souvent arrivé au sein de la maison rouge et bleue.

 

Allez savoir, si ces trois là, dans trente ans, ne festoieront pas ensemble au soir des 75 ans du club, en regardant d’un air goguenard leurs propres enfants livrer leurs premiers matches sous l’œil du MARSU.

 

Et si l’un d’entre eux mi-rieur mi-nostalgique ressort de sa poche cet article jauni par les années, qu’ils sachent tous trois qu’ils n’auront fait que vérifier le vieil adage :

R. C. P. A.

Rugby et CamaraderiePerpétuelle Amitié

Le Ménestrel

Les Gaelics Moins7 7 L’envie de jouer au rugby amena ces deux-là à se rencontrer et leur prénom commun les rapprocha immédiatement. Avant que de se découvrir d’autres similitudes comme une attirance fort limitée pour l’altitude au cours d’une sortie accrobranche mémorable.

 Confessons toutefois que les deux n’avaient de bretons que le prénom, normands cent pour cent, nos deux compères sitôt inscrits ne s’en acoquinèrent par moins avec un troisième larron armoricain de souche celui là… GWENDAL.

 Les cheveux d’un noir de geai, les yeux sombres, musclé comme un clafoutis aux cerises, ce dernier possède la faculté rare de faire montre d’un courage inversement proportionnel à sa taille. Pour preuve la belle entaille ornant sa pommette dans le bus qui emmenait l’équipe  à Vernon, n’y voyez pas les séquelles de l’âpre combat livré dans la mêlée mais simplement le fruit d’une échauffourée avec RONAN son complice et qui s’était réglée dans le bus à coups de boucle de ceinture. Et dix minutes et trois pansements plus tard, les deux mêmes, aux coudes à coudes, disputaient avec un bel entrain la gonfle à leurs adversaires du jour.

 

Car à ses moments perdus, notre breton véritable, combattant dans l’âme sous ses dehors rieurs, délaisse les terrains de rugby pour arpenter les tatamis cherchant à grand coup de mawaschi à glaner d’autres victoires.

 

Copains d’aujourd’hui qui sait peut-être deviendront-ils tous trois amis pour la vie comme cela est si souvent arrivé au sein de la maison rouge et bleue.

 

Allez savoir, si ces trois là, dans trente ans, ne festoieront pas ensemble au soir des 75 ans du club, en regardant d’un air goguenard leurs propres enfants livrer leurs premiers matches sous l’œil du MARSU.

 

Et si l’un d’entre eux mi-rieur mi-nostalgique ressort de sa poche cet article jauni par les années, qu’ils sachent tous trois qu’ils n’auront fait que vérifier le vieil adage :

R. C. P. A.

Rugby et CamaraderiePerpétuelle Amitié

Le Ménestrel