Attention: Nouvelle Phototèque à disposition. TELECHARGEZ VOS SOUVENIRS avant JUIN (suppression d'une partie des photos aprés). Nico

Olivier ne roule pas des mécaniques : sa carrosserie longiligne qu’il n’hésite pas à transformer en fonction de son état d’âme : haillons, noir, cuir…, sa vitesse naturelle - il a des jambes de feu, bien sûr-, ses essieux solides, son casque carotte couvert ou découvert tantôt barbu, tondu, punk - les années « teen » ne sont pas toujours faciles à traverser et la quête de personnalité un pensum - pas facile d’être le fils d’un(e) enseignant(e) – hein ! Isabelle !-: il faut rester dans la norme-, son carénage fragile le placèrent dès ses débuts sur l’aile ; ses pare-chocs évoluant, il peut glisser à l’arrière; sous le capot, le moteur tourne rond même s’il peut parfois toussoter, être déconnecté de la réalité, il sait toutefois être efficace et débrouillard quand il le faut, sans rien forcer. Zen mais coléreux, timoré mais courageux, réservé mais excentrique, calme mais rapide, rêveur mais aussi surprenant, notre lunatique ami cultive sa différence avec une dose de fantaisie, de fantasque qui le caractérise et le rend si attachant et si attendrissant mesdemoiselles. Les études n’étaient pas son truc : il décide de s’orienter vers la mécanique auto, la carrosserie plus précisément – c’était ça et rien d’autre au grand dam des parents - et depuis, il roule en solo sans embardées et accidents majeurs.

Enigmatique, Mystère Binay n’est pas un philanthrope, n’est pas obsédé par sa double personnalité, mais est apprécié des autres, de ses collègues, de ses partenaires et demande à être plus connu ; lorsque le masque tombe, son sourire malicieux se transforme en rire franc, sa tête baissée de timide se redresse pour affirmer ses taches de rousseur, il nous embobine et nous charme : Olivier ne craint plus personne et avance dans la vie avec délicatesse et gourmandise à la fois… le cas BINAY est en passe de se métamorphoser, les deux ne feraient plus qu’un…et l’avenir est devant lui : Olivier, faut pas le presser   !

Olivier ne roule pas des mécaniques : sa carrosserie longiligne qu’il n’hésite pas à transformer en fonction de son état d’âme : haillons, noir, cuir…, sa vitesse naturelle - il a des jambes de feu, bien sûr-, ses essieux solides, son casque carotte couvert ou découvert tantôt barbu, tondu, punk - les années « teen » ne sont pas toujours faciles à traverser et la quête de personnalité un pensum - pas facile d’être le fils d’un(e) enseignant(e) – hein ! Isabelle !-: il faut rester dans la norme-, son carénage fragile le placèrent dès ses débuts sur l’aile ; ses pare-chocs évoluant, il peut glisser à l’arrière; sous le capot, le moteur tourne rond même s’il peut parfois toussoter, être déconnecté de la réalité, il sait toutefois être efficace et débrouillard quand il le faut, sans rien forcer. Zen mais coléreux, timoré mais courageux, réservé mais excentrique, calme mais rapide, rêveur mais aussi surprenant, notre lunatique ami cultive sa différence avec une dose de fantaisie, de fantasque qui le caractérise et le rend si attachant et si attendrissant mesdemoiselles. Les études n’étaient pas son truc : il décide de s’orienter vers la mécanique auto, la carrosserie plus précisément – c’était ça et rien d’autre au grand dam des parents - et depuis, il roule en solo sans embardées et accidents majeurs.

Enigmatique, Mystère Binay n’est pas un philanthrope, n’est pas obsédé par sa double personnalité, mais est apprécié des autres, de ses collègues, de ses partenaires et demande à être plus connu ; lorsque le masque tombe, son sourire malicieux se transforme en rire franc, sa tête baissée de timide se redresse pour affirmer ses taches de rousseur, il nous embobine et nous charme : Olivier ne craint plus personne et avance dans la vie avec délicatesse et gourmandise à la fois… le cas BINAY est en passe de se métamorphoser, les deux ne feraient plus qu’un…et l’avenir est devant lui : Olivier, faut pas le presser   !