Attention: Nouvelle Phototèque à disposition. TELECHARGEZ VOS SOUVENIRS avant JUIN (suppression d'une partie des photos aprés). Nico

Petit Jean a bien grandi depuis qu’il fréquente l’école de rugby mais ce surnom affectif n’est plus de mode : le timide, le timoré, le rêveur, l’emprunté, le pataud, le Petit Jean de la Lune des Marie Pierre et Loulou ( artiste photographe et co-leader) mesure plus d’un mètre quatre-vingt-quinze sous la toise, d’un presque quintal sur la balance et chausse du 49 ; de grands pieds mais surtout de grandes jambes qui lui permettent de se déplacer aux quatre coins du terrain avec facilité et voracité, de cueillir les « olives » avec assurance et adresse dans les alignements :  Une tour de contrôle qui dame le pion à ses vis-à-vis : succès et maths, leitmotivs des Loulou. Le terrain, au fil du temps, l’a métamorphosé : la plante hésitante est devenue une belle plante, Jean le Craintif, Jean sans Peur et sans Reproches, un chevaleresque Bayard du vingt et unième siècle : un Jean d’armes : courageux, rassembleur, exemplaire, investi, pièce maîtresse des M 18 dont il est, cher Jean, non, Capitaine.

Jeantilhomme en devenir, notre sensible et attachant grand blond aux yeux bleus affiche une détermination farouche tant dans la vie (le bac approche et les études de kiné se profilent) que sur le pré pour atteindre ses objectifs. Exijean avec les autres comme avec lui-même, ce généreux troisième ligne longiligne et intellijean, casque d’or, donne toujours le meilleur de lui-même avec sérieux et abnégation, il ne fait rien à moitié et son panache casqué de rouge rallie naturellement amitié, enthousiasme et sympathie. Bon d’accord, on vous l’accorde, c’est un Gros Ronfleur et là aussi il bat des records mais nous ne couchons pas dans la chambre voisine; Bon d’accord, c’est aussi un Gros Mangeur, toujours affamé, toujours insatiable, pas facile à nourrir une telle carcasse mais nous ne nous asseyons pas à la même table : cet appétit et cette soif d’envie, de jeu, de solidarité, de vie, vous les retrouvez dans son quotidien sans fioriture, avec gentillesse et sourire…ça va ronfler dans les années à venir.

Jean « pète le Feu » et brûle, de Saint-Jean, mille feux… Il ne lui reste plus qu’à l’allumer éternellement pour le plaisir des siens et du nôtre. « Jean du pays, c'est ton tour
De te laisser parler d'amour »

 

Petit Jean a bien grandi depuis qu’il fréquente l’école de rugby mais ce surnom affectif n’est plus de mode : le timide, le timoré, le rêveur, l’emprunté, le pataud, le Petit Jean de la Lune des Marie Pierre et Loulou ( artiste photographe et co-leader) mesure plus d’un mètre quatre-vingt-quinze sous la toise, d’un presque quintal sur la balance et chausse du 49 ; de grands pieds mais surtout de grandes jambes qui lui permettent de se déplacer aux quatre coins du terrain avec facilité et voracité, de cueillir les « olives » avec assurance et adresse dans les alignements :  Une tour de contrôle qui dame le pion à ses vis-à-vis : succès et maths, leitmotivs des Loulou. Le terrain, au fil du temps, l’a métamorphosé : la plante hésitante est devenue une belle plante, Jean le Craintif, Jean sans Peur et sans Reproches, un chevaleresque Bayard du vingt et unième siècle : un Jean d’armes : courageux, rassembleur, exemplaire, investi, pièce maîtresse des M 18 dont il est, cher Jean, non, Capitaine.

Jeantilhomme en devenir, notre sensible et attachant grand blond aux yeux bleus affiche une détermination farouche tant dans la vie (le bac approche et les études de kiné se profilent) que sur le pré pour atteindre ses objectifs. Exijean avec les autres comme avec lui-même, ce généreux troisième ligne longiligne et intellijean, casque d’or, donne toujours le meilleur de lui-même avec sérieux et abnégation, il ne fait rien à moitié et son panache casqué de rouge rallie naturellement amitié, enthousiasme et sympathie. Bon d’accord, on vous l’accorde, c’est un Gros Ronfleur et là aussi il bat des records mais nous ne couchons pas dans la chambre voisine; Bon d’accord, c’est aussi un Gros Mangeur, toujours affamé, toujours insatiable, pas facile à nourrir une telle carcasse mais nous ne nous asseyons pas à la même table : cet appétit et cette soif d’envie, de jeu, de solidarité, de vie, vous les retrouvez dans son quotidien sans fioriture, avec gentillesse et sourire…ça va ronfler dans les années à venir.

Jean « pète le Feu » et brûle, de Saint-Jean, mille feux… Il ne lui reste plus qu’à l’allumer éternellement pour le plaisir des siens et du nôtre. « Jean du pays, c'est ton tour
De te laisser parler d'amour »