Attention: Nouvelle Phototèque à disposition. TELECHARGEZ VOS SOUVENIRS avant JUIN (suppression d'une partie des photos aprés). Nico

Discret, patient et fidèle, brun (en passe de griser), grand et bronzé, ce portugais d’origine par son grand-père et ch’ti par sa grand-mère- un croisement original- se plaît avec « ses ouailles » que la mère poule couve et élève précieusement en plein air : pas de compétition mais du jeu et des jeux avec pour récompense des cocoricos, des caquètements, des battements d’ailes qui le comblent de plaisir, des coqs en pâtes ces « mini-poussins ». D’ailleurs ce besoin de s’occuper des autres, il le prodigue dans ses interventions de sapeur-pompier… une continuité lié aux valeurs : au respect, au sens du devoir qui ne sont pas étrangers aux rugbymen.

Sa première passion : sa femme Céline qu’il dorlote avec tendresse dans cette période difficile pour elle – attente d’une greffe- ; la seconde guerre mondiale et plus particulièrement le débarquement et les batailles en Normandie (musée, livres et films), les romans policiers ( Dan Brown est son auteur favori), les balades à vélo avec Adrien et les randonnés pédestres en sont quatre autres: Il puise sa force et son courage dans son équilibre familial.

Personne attachante, Benoît se distingue surtout par sa sensibilité, sa délicatesse et sa sociabilité, s’entend avec tout le monde et s’adapte à toutes les personnalités. Optimiste et déterminé, il n’abandonne jamais et poursuit ses objectifs envers et contre tout. L’idée de faire ce qui est bien et juste le motive également.

Certes nous n’avons pas un Vasco de Gama, Magellan, Fernando Pessoa, encore moins Cristiano Ronaldo, José Mourinho, Luís Figo, mais notre Benoît De Oliveira nous suffit largement, d’ailleurs Benoît est dérivé du latin « Benedictus », signifiant « béni » alors soyons bénis par sa présence… - Bon d’accord peut-être exagéré - Béni soit qui mal y pense !

Discret, patient et fidèle, brun (en passe de griser), grand et bronzé, ce portugais d’origine par son grand-père et ch’ti par sa grand-mère- un croisement original- se plaît avec « ses ouailles » que la mère poule couve et élève précieusement en plein air : pas de compétition mais du jeu et des jeux avec pour récompense des cocoricos, des caquètements, des battements d’ailes qui le comblent de plaisir, des coqs en pâtes ces « mini-poussins ». D’ailleurs ce besoin de s’occuper des autres, il le prodigue dans ses interventions de sapeur-pompier… une continuité lié aux valeurs : au respect, au sens du devoir qui ne sont pas étrangers aux rugbymen.

Sa première passion : sa femme Céline qu’il dorlote avec tendresse dans cette période difficile pour elle – attente d’une greffe- ; la seconde guerre mondiale et plus particulièrement le débarquement et les batailles en Normandie (musée, livres et films), les romans policiers ( Dan Brown est son auteur favori), les balades à vélo avec Adrien et les randonnés pédestres en sont quatre autres: Il puise sa force et son courage dans son équilibre familial.

Personne attachante, Benoît se distingue surtout par sa sensibilité, sa délicatesse et sa sociabilité, s’entend avec tout le monde et s’adapte à toutes les personnalités. Optimiste et déterminé, il n’abandonne jamais et poursuit ses objectifs envers et contre tout. L’idée de faire ce qui est bien et juste le motive également.

Certes nous n’avons pas un Vasco de Gama, Magellan, Fernando Pessoa, encore moins Cristiano Ronaldo, José Mourinho, Luís Figo, mais notre Benoît De Oliveira nous suffit largement, d’ailleurs Benoît est dérivé du latin « Benedictus », signifiant « béni » alors soyons bénis par sa présence… - Bon d’accord peut-être exagéré - Béni soit qui mal y pense !