Attention: Nouvelle Phototèque à disposition. TELECHARGEZ VOS SOUVENIRS avant JUIN (suppression d'une partie des photos aprés). Nico

Sanctus Blandine, « la flatteuse » ado engagée, prit alors sa vie rugbystique en mains : double licence au RCPA et à l’EAC. Ses pratiques sportive précédentes lui donnèrent des bases solides : confiance, adresse, maîtrise, esprit de compétition et d’émulation, motivation… qu’elle exploite au mieux, soutenu vous le pensez bien par un père ravi. Notre ange blond léonin impressionne par sa volonté et sa détermination sur le terrain au service d’une technique irréprochable que les apprentissages familiaux ont contribué à rendre parfaite. Malheureusement les blessures et pépins s’accumulent et l’écartent trop rapidement des terrains qu’elle chérit tant. Le rugby féminin en est à son balbutiement. Alors elle s’engage, la voilà à la FFR pour la coupe du monde, au comité régional et départemental : bon sang ne saurait mentir : autrement dit « les Kiens ne font pas des Kattes ».

Si Sanctus Blandine « la sage adulte » se cherche professionnellement, elle devient tout de suite un archange au sein du RCPA, une mère Thérésa ou une sœur Emmanuelle, aux côtés de Dieu le Père Dominique (Nique Nique) : une de ses  arbitres (au côté de Gaëlle), une de ses éducatrices ( cette saison avec son tendre chéri le samedi), une de ses nombreuses dirigeantes indispensables dans le rugby d’aujourd’hui: si elle suit son homme le samedi, elle ne le lâche pas le dimanche non plus puisqu’elle les accompagne comme responsable terrain, infirmerie, matériel…Extravertie, elle parle facilement à tout le monde, permet ainsi de tisser des liens solides indispensables à la vie collective d’un groupe, favorise les relations intergénérationnelles et interclubs avec nos amis du CSG, crée ces passerelles qui engendrent la solidarité et la bonne humeur, n’hésite pas à montrer ses talents culinaires les vendredis soirs d’entraînement ( on parle encore de la tartiflette de novembre)- pas de raisons que son préféré soit le seul à en profiter, en bien ou en mal- . Elle trouve son Salut dans la multiplication des … tâches mais surtout elle s’épanouit pleinement auprès du Bienheureux et précieux Achille, éducateur, joueur et plus si affinités.

Un peu Chiante mais trop gentille et amusante : Sainte Blandine n’est pas une esclave : Blandine, une Lyonne, ni martyrisée, ni torturée, ni égorgée mais Blandine libérée pour le Bien d’autrui. Sacrée Blandine : au moins, elle, la voilà déjà béatifiée.

Dominique Rémond, Christelle Berrier, Blandine Rémond : Sainte Famille, Sainte Trinité, Jouez pour Nous ! Amen !

Sanctus Blandine, « la flatteuse » ado engagée, prit alors sa vie rugbystique en mains : double licence au RCPA et à l’EAC. Ses pratiques sportive précédentes lui donnèrent des bases solides : confiance, adresse, maîtrise, esprit de compétition et d’émulation, motivation… qu’elle exploite au mieux, soutenu vous le pensez bien par un père ravi. Notre ange blond léonin impressionne par sa volonté et sa détermination sur le terrain au service d’une technique irréprochable que les apprentissages familiaux ont contribué à rendre parfaite. Malheureusement les blessures et pépins s’accumulent et l’écartent trop rapidement des terrains qu’elle chérit tant. Le rugby féminin en est à son balbutiement. Alors elle s’engage, la voilà à la FFR pour la coupe du monde, au comité régional et départemental : bon sang ne saurait mentir : autrement dit « les Kiens ne font pas des Kattes ».

Si Sanctus Blandine « la sage adulte » se cherche professionnellement, elle devient tout de suite un archange au sein du RCPA, une mère Thérésa ou une sœur Emmanuelle, aux côtés de Dieu le Père Dominique (Nique Nique) : une de ses  arbitres (au côté de Gaëlle), une de ses éducatrices ( cette saison avec son tendre chéri le samedi), une de ses nombreuses dirigeantes indispensables dans le rugby d’aujourd’hui: si elle suit son homme le samedi, elle ne le lâche pas le dimanche non plus puisqu’elle les accompagne comme responsable terrain, infirmerie, matériel…Extravertie, elle parle facilement à tout le monde, permet ainsi de tisser des liens solides indispensables à la vie collective d’un groupe, favorise les relations intergénérationnelles et interclubs avec nos amis du CSG, crée ces passerelles qui engendrent la solidarité et la bonne humeur, n’hésite pas à montrer ses talents culinaires les vendredis soirs d’entraînement ( on parle encore de la tartiflette de novembre)- pas de raisons que son préféré soit le seul à en profiter, en bien ou en mal- . Elle trouve son Salut dans la multiplication des … tâches mais surtout elle s’épanouit pleinement auprès du Bienheureux et précieux Achille, éducateur, joueur et plus si affinités.

Un peu Chiante mais trop gentille et amusante : Sainte Blandine n’est pas une esclave : Blandine, une Lyonne, ni martyrisée, ni torturée, ni égorgée mais Blandine libérée pour le Bien d’autrui. Sacrée Blandine : au moins, elle, la voilà déjà béatifiée.

Dominique Rémond, Christelle Berrier, Blandine Rémond : Sainte Famille, Sainte Trinité, Jouez pour Nous ! Amen !