Attention: Nouvelle Phototèque à disposition. TELECHARGEZ VOS SOUVENIRS avant JUIN (suppression d'une partie des photos aprés). Nico

De Jean Paul I et au début de l’ère de Jean Paul II, notre « pontife » exerça ses talents dans le pack bleu et rouge, aux côtés des Debray, Sgeg, Coco, Boris et consorts : il termina ses bons offices avec son compère et ami de toujours Gilles, alias le Grand Blond qui lui glissa quelques précieux conseils de guerrier pas très orthodoxes et des « crosses » – au confessionnal, son repenti n’est toujours pas terminé. Parallèlement lancé professionnellement dans le monde agricole, maquignon, il découvrit Rome où ses « viaux » terminèrent escalopes, mais rattrapé par la crise, Notre Saint Père qui ne « bullait »pas, abandonna son viatique et au-delà le Vatican, le pope devint quelque temps, le chauffeur de car de nos déplacements Béneult et le seconde ligne attitré en toute discrétion, il ne fallait surtout pas qu’une blessure le touche, retour oblige. Linda, sa tendre et fidèle épouse, qui courtisait son « prélat » depuis des lustres à chaque office dominical le vit un peu plus souvent à la maison d’autant qu’Ariane, Baptiste et Marjorie successivement arrivèrent . Le chauffeur de car bifurqua à nouveau pour prendre le volant d’un poids lourd : l’arrivée du fils prodigue relança sa carrière rugbystique : le nouveau pape laissa ses « mules » et rejoignit son ami Eric pour l’encadrement des avants des moins de 13 quand son Titou lâcha enfin le ballon rond jusqu’à aujourd’hui en moins de 19.

Vous l’entendez sûrement sur le bord de la touche distiller ses précieux commentaires pas toujours en odeur de Sainteté, ce ne sont pas des sermons, des homélies, non mais une litanie de sacro-saintes «  bonnes paroles » - tout n’est pas écrit dans l’évangile- qui obligera le président à le canoniser un jour prochain : les voix du Seigneur sont impénétrables.

« Habemus Papam: Benedictus sextus decimus : nous te louons et te remercions, et pourquoi pas une béatification prochaine, Benoît Seys».

De Jean Paul I et au début de l’ère de Jean Paul II, notre « pontife » exerça ses talents dans le pack bleu et rouge, aux côtés des Debray, Sgeg, Coco, Boris et consorts : il termina ses bons offices avec son compère et ami de toujours Gilles, alias le Grand Blond qui lui glissa quelques précieux conseils de guerrier pas très orthodoxes et des « crosses » – au confessionnal, son repenti n’est toujours pas terminé. Parallèlement lancé professionnellement dans le monde agricole, maquignon, il découvrit Rome où ses « viaux » terminèrent escalopes, mais rattrapé par la crise, Notre Saint Père qui ne « bullait »pas, abandonna son viatique et au-delà le Vatican, le pope devint quelque temps, le chauffeur de car de nos déplacements Béneult et le seconde ligne attitré en toute discrétion, il ne fallait surtout pas qu’une blessure le touche, retour oblige. Linda, sa tendre et fidèle épouse, qui courtisait son « prélat » depuis des lustres à chaque office dominical le vit un peu plus souvent à la maison d’autant qu’Ariane, Baptiste et Marjorie successivement arrivèrent . Le chauffeur de car bifurqua à nouveau pour prendre le volant d’un poids lourd : l’arrivée du fils prodigue relança sa carrière rugbystique : le nouveau pape laissa ses « mules » et rejoignit son ami Eric pour l’encadrement des avants des moins de 13 quand son Titou lâcha enfin le ballon rond jusqu’à aujourd’hui en moins de 19.

Vous l’entendez sûrement sur le bord de la touche distiller ses précieux commentaires pas toujours en odeur de Sainteté, ce ne sont pas des sermons, des homélies, non mais une litanie de sacro-saintes «  bonnes paroles » - tout n’est pas écrit dans l’évangile- qui obligera le président à le canoniser un jour prochain : les voix du Seigneur sont impénétrables.

« Habemus Papam: Benedictus sextus decimus : nous te louons et te remercions, et pourquoi pas une béatification prochaine, Benoît Seys».