Attention: Nouvelle Phototèque à disposition. TELECHARGEZ VOS SOUVENIRS avant JUIN (suppression d'une partie des photos aprés). Nico

Maxime 3Enfin, à 24 ans, notre tendre séducteur est amoureux de la Belle et Charmante Thiphaine. En conjuguant le tout, il lui reste moins de temps à partager avec ses amis, ses frères du rugby qu’il côtoie depuis les minimes… et bien sûr sur le pré.

Maxime est le prototype du joueur disponible et de l’équipier idéal, formé par les Franck, Fabrice, Sgeg à l’école de rugby, c’est un garçon généreux, sérieux, courageux, serviable et bricoleur- son métier l’exige- et malgré une mauvaise fracture à ses débuts, il est revenu plus fort que jamais. Discret mais efficace et appliqué sur un terrain, vous ne l’entendrez pas s’en prendre à l’arbitre, à l’adversaire ou à ses coéquipiers- son éducation l’en préserve- ; son frêle et longiligne gabarit blanc en font un excellent sauteur doublé d’un terrible et rude plaqueur qui se multiplie aux quatre coins du terrain avec facilité et nonchalance: « un esprit sain dans un corps sain » qui se donne corps et âme sur un terrain et son œil fortement commotionné s'en rappelle encore lors d’un championnat de France récent contre Armentières.

Il sait aussi sortir de sa réserve et blaguer grassement avec ses intimes- sa fameuse blague du curé qui se "branleMaxime 4 dans un seau" tourne dans les vestiaires-, ses imitations de Johnny dérident les plus imperméables : «  Ah ! Que ! tu connais Johnny toi ?  » : son sourire malicieux et moqueur illumine alors un visage juvénile lorsqu’il se laisse aller à la gageur et à la plaisanterie très régulièrement, avec des phrases bien à lui: il a toujours le mot pour rire, un drôle de bout en train qui cache bien son jeu derrière ses tâches de rousseur et sa tignasse d’irlandais bouclée : il a excellé lors due weekend à Vielmur avec des One man show hilarants et des « foutages » de gueule: tout le monde se souviendra du retour de cette épopée, quand dans le minibus, il réveilla les huit autres passagers d’un cri de goret qu’on égorge à cause d'une crampe.

Notre Roux, en vieux Renard, sait que le temps lui est compté :

« Le bonheur est dans et sur le pré. Cours-y vite, cours-y vite. Le bonheur est dans et sur le pré. Cours-y vite. Il va filer.

Si tu veux le rattraper, cours-y vite, cours-y vite. Si tu veux le rattraper, cours-y vite. Il va filer.

Dans l’ache et le serpolet, cours-y vite, cours-y vite, dans l’ache et le serpolet, cours-y vite. Il va filer.

Sur les cornes du bélier, cours-y vite, cours-y vite, sur les cornes du bélier, cours-y vite. Il va filer.

Sur le flot du sourcelet, cours-y vite, cours-y vite, sur le flot du sourcelet, cours-y vite. Il va filer.

De pommier en cerisier, cours-y vite, cours-y vite, de pommier en cerisier, cours-y vite. Il va filer.

Saute par-dessus la haie, cours-y vite, cours-y vite. Saute par-dessus la haie, cours-y vite ! Il a filé ! » Paul Fort

Maxime 3Enfin, à 24 ans, notre tendre séducteur est amoureux de la Belle et Charmante Thiphaine. En conjuguant le tout, il lui reste moins de temps à partager avec ses amis, ses frères du rugby qu’il côtoie depuis les minimes… et bien sûr sur le pré.

Maxime est le prototype du joueur disponible et de l’équipier idéal, formé par les Franck, Fabrice, Sgeg à l’école de rugby, c’est un garçon généreux, sérieux, courageux, serviable et bricoleur- son métier l’exige- et malgré une mauvaise fracture à ses débuts, il est revenu plus fort que jamais. Discret mais efficace et appliqué sur un terrain, vous ne l’entendrez pas s’en prendre à l’arbitre, à l’adversaire ou à ses coéquipiers- son éducation l’en préserve- ; son frêle et longiligne gabarit blanc en font un excellent sauteur doublé d’un terrible et rude plaqueur qui se multiplie aux quatre coins du terrain avec facilité et nonchalance: « un esprit sain dans un corps sain » qui se donne corps et âme sur un terrain et son œil fortement commotionné s'en rappelle encore lors d’un championnat de France récent contre Armentières.

Il sait aussi sortir de sa réserve et blaguer grassement avec ses intimes- sa fameuse blague du curé qui se "branleMaxime 4 dans un seau" tourne dans les vestiaires-, ses imitations de Johnny dérident les plus imperméables : «  Ah ! Que ! tu connais Johnny toi ?  » : son sourire malicieux et moqueur illumine alors un visage juvénile lorsqu’il se laisse aller à la gageur et à la plaisanterie très régulièrement, avec des phrases bien à lui: il a toujours le mot pour rire, un drôle de bout en train qui cache bien son jeu derrière ses tâches de rousseur et sa tignasse d’irlandais bouclée : il a excellé lors due weekend à Vielmur avec des One man show hilarants et des « foutages » de gueule: tout le monde se souviendra du retour de cette épopée, quand dans le minibus, il réveilla les huit autres passagers d’un cri de goret qu’on égorge à cause d'une crampe.

Notre Roux, en vieux Renard, sait que le temps lui est compté :

« Le bonheur est dans et sur le pré. Cours-y vite, cours-y vite. Le bonheur est dans et sur le pré. Cours-y vite. Il va filer.

Si tu veux le rattraper, cours-y vite, cours-y vite. Si tu veux le rattraper, cours-y vite. Il va filer.

Dans l’ache et le serpolet, cours-y vite, cours-y vite, dans l’ache et le serpolet, cours-y vite. Il va filer.

Sur les cornes du bélier, cours-y vite, cours-y vite, sur les cornes du bélier, cours-y vite. Il va filer.

Sur le flot du sourcelet, cours-y vite, cours-y vite, sur le flot du sourcelet, cours-y vite. Il va filer.

De pommier en cerisier, cours-y vite, cours-y vite, de pommier en cerisier, cours-y vite. Il va filer.

Saute par-dessus la haie, cours-y vite, cours-y vite. Saute par-dessus la haie, cours-y vite ! Il a filé ! » Paul Fort