Attention: Nouvelle Phototèque à disposition. TELECHARGEZ VOS SOUVENIRS avant JUIN (suppression d'une partie des photos aprés). Nico

 Il n’en fallait pas plus à notre digne représentant du grand MARSU pour déceler chez cette sympathique maman un potentiel intéressant. Cela ne pouvait mieux tomber, le samedi après-midi était la seule case blanche d’un agenda aussi noir que la chevelure de notre dévouée infirmière.

 Qu’importe, on vous l’a dit, aider chez notre éducatrice d’élite, est une seconde nature.

Alors KAREN ne s’est pas engagée… Elle a aidé, sans bruit, un samedi, deux samedis, tous les samedis. Malgré sa garde de nuit la veille, malgré celle de la nuit suivante à assurer. Avec toujours la même disponibilité, le même sourire, le même dévouement, la même discrétion elle a aidé simplement…

 Comme si cela coulait de source, notre nouvelle recrue s’en est allée, l’année passée, se faire breveter éducatrice fédérale.

Elle qui, de temps en temps, vous dit avec une sincérité désarmante « Eh ho !!! Attendez les gars ! Moi j’ai jamais joué… j’y connais rien, moi, au rugby ».Avant d’aller reprendre sans sourciller le fil de la séance qu’elle est en train d’animer. Elle est comme ça, notre KAREN, Elle n’entraîne pas… elle aide. Elle aide tellement que sans bruit elle est devenue indispensable. Si elle est absente (cela a bien dû lui arriver une fois) vous verrez nos moins de 7 regarder à droite, à gauche, chercher, pour finalement se retourner et demander sourcils froncés : « Elle n’est pas là, KAREN ? »

 Car voilà la miss est adorée, adulée, par les MARSUS. La touche féminine dans un monde de brutes.

 Aussi pendant que son MANU favori défie les océans vent debout, celle qui est devenue l’égérie du grand MARSU transmet avec passion. Chaque samedi qu’il vente ou qu’il pleuve, elle revêt son maillot des blacks et s’en va enseigner l’art de la passe et du placage à une nuée de gamins qui savent pertinemment qu’auprès d’elle, ils trouveront aussi facilement conseils et encouragements que douceur, sourire et réconfort en cas de petits bobos.

 Main de fer dans un gant de velours, la belle parvient même, quand son « voileux  »   de mari rentre au port, à l’amener sur les terrains de rugby… Pour aider.

 Décidemment le MARSU sait s’entourer.

 Le Ménestrel

 Il n’en fallait pas plus à notre digne représentant du grand MARSU pour déceler chez cette sympathique maman un potentiel intéressant. Cela ne pouvait mieux tomber, le samedi après-midi était la seule case blanche d’un agenda aussi noir que la chevelure de notre dévouée infirmière.

 Qu’importe, on vous l’a dit, aider chez notre éducatrice d’élite, est une seconde nature.

Alors KAREN ne s’est pas engagée… Elle a aidé, sans bruit, un samedi, deux samedis, tous les samedis. Malgré sa garde de nuit la veille, malgré celle de la nuit suivante à assurer. Avec toujours la même disponibilité, le même sourire, le même dévouement, la même discrétion elle a aidé simplement…

 Comme si cela coulait de source, notre nouvelle recrue s’en est allée, l’année passée, se faire breveter éducatrice fédérale.

Elle qui, de temps en temps, vous dit avec une sincérité désarmante « Eh ho !!! Attendez les gars ! Moi j’ai jamais joué… j’y connais rien, moi, au rugby ».Avant d’aller reprendre sans sourciller le fil de la séance qu’elle est en train d’animer. Elle est comme ça, notre KAREN, Elle n’entraîne pas… elle aide. Elle aide tellement que sans bruit elle est devenue indispensable. Si elle est absente (cela a bien dû lui arriver une fois) vous verrez nos moins de 7 regarder à droite, à gauche, chercher, pour finalement se retourner et demander sourcils froncés : « Elle n’est pas là, KAREN ? »

 Car voilà la miss est adorée, adulée, par les MARSUS. La touche féminine dans un monde de brutes.

 Aussi pendant que son MANU favori défie les océans vent debout, celle qui est devenue l’égérie du grand MARSU transmet avec passion. Chaque samedi qu’il vente ou qu’il pleuve, elle revêt son maillot des blacks et s’en va enseigner l’art de la passe et du placage à une nuée de gamins qui savent pertinemment qu’auprès d’elle, ils trouveront aussi facilement conseils et encouragements que douceur, sourire et réconfort en cas de petits bobos.

 Main de fer dans un gant de velours, la belle parvient même, quand son « voileux  »   de mari rentre au port, à l’amener sur les terrains de rugby… Pour aider.

 Décidemment le MARSU sait s’entourer.

 Le Ménestrel