Attention: Nouvelle Phototèque à disposition. TELECHARGEZ VOS SOUVENIRS avant JUIN (suppression d'une partie des photos aprés). Nico

« Le bon, la brute et le pétulant » : Grand sentimental, profondément attaché à sa famille et à son cercle d'amis, notre homme aime avant tout bouger, voyager (adepte du changement), être libre des contraintes, il a besoin de se passionner. Tout à la fois émotif, viril, entreprenant, Cédric peut se muer facilement en conquérant : son dynamisme et sa solidarité exacerbés le métamorphosent. Exigeant, autoritaire et directif, l’ex-bordelais est aussi susceptible d'avoir, sous des dehors calmes, des accès de colère lorsque l'on s'oppose à ses désirs ou que l'on fait montre d'iniquité. Electrique, impulsif, sanguin, rugueux caractérisaient ce troisième ligne de devoir : guerrier toujours au front, taiseux et besogneux. Lorsqu'il est animé par une motivation, il s’engage à fond, capable d'aller jusqu'au bout du parcours qu'il s'est tracé, déteste la médiocrité et les bassesses, n’apprécie guère l'échec et fait en sorte de se dépasser ou de se surpasser. Avec le temps et l’expérience de la vie, il s’apaise, se sociabilise et redistribue chaleureusement à tous ceux qui le côtoient, sa passion et son envie : le jeune loup est devenu chef de meute.

« Pour quelques dollars de plus » : Le déplacement des minots au Havre pour assister au match de Top 14 Racing 92- Grenoble, c’est lui ; La soirée Couscous du premier trimestre, c’est aussi lui ; le futur Loto du mois d’avril ( le samedi 23), c’est encore lui ; la soirée Paëlla du 19 mars (avec notre poissonnier préféré monsieur Gommé), c’est toujours lui. Cédric a bien compris les difficultés financières de notre petit club pour pouvoir faire vivre ses 250 licenciés ; généreux et enthousiaste, il se démène avec les volontaires pour mettre du beurre dans les épinards et permettre à ses « petits » de profiter d’un peu plus: cuisinier hors pair et gourmand- fin connaisseur de champignons, il adore arpenter les bois pour les dénicher-, il donne de sa personne pour l’organisation de ces manifestations si conviviales et si propres au rugby.

Cédric signifie en celte « Roi du combat » : notre ami ne lâche jamais rien et derrière le masque de la réserve, de la nature pudique et peu démonstrative se cache un garçon entièrement affirmé en communauté…le rugby contribue largement à sa lente transformation, comme le bon vin qu’il affectionne, il gagne en maturité et en sagesse : après tout Cadillac, Saint Croix du Mont, Loupiac, Sauternes n’étaient pas si loin de Langon, con.

Saint Cédric (ou Cedde) était un moine évangélisateur anglais du VIIe siècle, nul doute que le nôtre aura converti des générations à notre « religion » au sein de notre communauté…l’ascète est sur le bon chemin… l’équation EUX = AIMENT C 2 est résolue : Albert Einstein, Ennio Morricone et Patrick Cauvin devaient sûrement le connaître car Nous, on aime aussi C 2 !

PS : Concours de circonstances, ce dimanche le Stade Rouennais recevait le Stade Langonnais où évolue son fils Romain âgé de 18 ans parti en septembre chasser les palombes… L’histoire serait-elle un éternel recommencement ?

« Le bon, la brute et le pétulant » : Grand sentimental, profondément attaché à sa famille et à son cercle d'amis, notre homme aime avant tout bouger, voyager (adepte du changement), être libre des contraintes, il a besoin de se passionner. Tout à la fois émotif, viril, entreprenant, Cédric peut se muer facilement en conquérant : son dynamisme et sa solidarité exacerbés le métamorphosent. Exigeant, autoritaire et directif, l’ex-bordelais est aussi susceptible d'avoir, sous des dehors calmes, des accès de colère lorsque l'on s'oppose à ses désirs ou que l'on fait montre d'iniquité. Electrique, impulsif, sanguin, rugueux caractérisaient ce troisième ligne de devoir : guerrier toujours au front, taiseux et besogneux. Lorsqu'il est animé par une motivation, il s’engage à fond, capable d'aller jusqu'au bout du parcours qu'il s'est tracé, déteste la médiocrité et les bassesses, n’apprécie guère l'échec et fait en sorte de se dépasser ou de se surpasser. Avec le temps et l’expérience de la vie, il s’apaise, se sociabilise et redistribue chaleureusement à tous ceux qui le côtoient, sa passion et son envie : le jeune loup est devenu chef de meute.

« Pour quelques dollars de plus » : Le déplacement des minots au Havre pour assister au match de Top 14 Racing 92- Grenoble, c’est lui ; La soirée Couscous du premier trimestre, c’est aussi lui ; le futur Loto du mois d’avril ( le samedi 23), c’est encore lui ; la soirée Paëlla du 19 mars (avec notre poissonnier préféré monsieur Gommé), c’est toujours lui. Cédric a bien compris les difficultés financières de notre petit club pour pouvoir faire vivre ses 250 licenciés ; généreux et enthousiaste, il se démène avec les volontaires pour mettre du beurre dans les épinards et permettre à ses « petits » de profiter d’un peu plus: cuisinier hors pair et gourmand- fin connaisseur de champignons, il adore arpenter les bois pour les dénicher-, il donne de sa personne pour l’organisation de ces manifestations si conviviales et si propres au rugby.

Cédric signifie en celte « Roi du combat » : notre ami ne lâche jamais rien et derrière le masque de la réserve, de la nature pudique et peu démonstrative se cache un garçon entièrement affirmé en communauté…le rugby contribue largement à sa lente transformation, comme le bon vin qu’il affectionne, il gagne en maturité et en sagesse : après tout Cadillac, Saint Croix du Mont, Loupiac, Sauternes n’étaient pas si loin de Langon, con.

Saint Cédric (ou Cedde) était un moine évangélisateur anglais du VIIe siècle, nul doute que le nôtre aura converti des générations à notre « religion » au sein de notre communauté…l’ascète est sur le bon chemin… l’équation EUX = AIMENT C 2 est résolue : Albert Einstein, Ennio Morricone et Patrick Cauvin devaient sûrement le connaître car Nous, on aime aussi C 2 !

PS : Concours de circonstances, ce dimanche le Stade Rouennais recevait le Stade Langonnais où évolue son fils Romain âgé de 18 ans parti en septembre chasser les palombes… L’histoire serait-elle un éternel recommencement ?